Thierry NIOGRET
Thierry NIOGRET

Un pastiche holmésien original

SHERLOCK HOLMES ET LE SECRET DES HOMMES BARBUS :

Une enquête de l'inspecteur lestrade.

 

 

1888. Alors que Jack l'Eventreur fait régner la terreur à Whitechapel, Londres vit un autre événement tout aussi horrible : un mystérieux assassin tue et rase ses victimes. Barbes et cheveux n'y résistent pas. Pour quel motif ?

 

Pendant que Scotland Yard s'évertue à arrêter le Ripper, le Scalper accapare tout entier l'inspecteur Lestrade. Celui-ci, empêtré dans cet imbroglio, s'en remet à Sherlock holmes.

 

Et si toute cette affaire débouchait sur un pileux mensonge ?

 

 

Editions LE PATIENT RESIDANT - 270 pages - Format 20 X 11 - 19 euros 

Disponible en librairie et sur les sites FNAC et PRICE MINISTER

 

 

SECRETS DE FABRICATION

 



Lorsque j'ai commencé à construire cet ouvrage, j'ai cherché un parti pris original. Tant d'auteurs avaient déjà pastiché Conan Doyle, certains avec talent... Que faire de plus, qu'apporter de nouveau ?

 

Situer l'histoire du point de vue de l'inspecteur Lestrade apportait une nouvelle pierre à l'édifice holmésien, cela permettait d'enrichir certains personnages de la saga et de montrer des relations un peu différentes entre eux.

 

Faisant quelques recherches sur l'époque victorienne et l'univers de Sherlock Holmes, je me suis étonné de voir que JAMAIS l'auteur n'évoquait le métro (le fameux tube) alors que celui-ci était en pleine construction et les premières lignes déjà en circulation. Le terrain de jeu était tout trouvé.

 

 

LA CONSIGNE DE MON EDITEUR : "être original"

 

"Lâche-toi, fais-moi du Niogret !"

 

Cela, il ne fallait pas me le dire deux fois. Je vous préviens donc que tout en respectant une trame classique, l'histoire flirte parfois avec le non-sens et le burlesque, et si le cadre judiciaire a été parfaitement reconstitué (on croise des policiers de Scotland Yard ayant existé, des commerçants, des journalistes de l'époque), on oscille dangereusement entre l'humour angais et le dessin animé. Vous voilà prévenu.

 

 

QUELQUES LIBERTES AVEC LE GENRE.

 

 

En 1888, dans le "canon holmésien", le Docteur Watson a épousé Mary Morstan, rencontrée dans "Le signe des Quatre", dont l'action se situe un an plus tôt. Il est donc censé vivre avec son épouse et il a ouvert un cabinet médical. Il ne partage plus pendant quelques années, le logement du 221B Baker Street avec Sherlock Holmes. Mais Conan Doyle lui-même semble embarrassé par ce personnage et le fait disparaître d'ailleurs sans explication. J'ai préféré faire carrément abstraction de cette épouse encombrante et faire comme si elle n'existait pas ; ce qui, pour le grand public, est d'ailleurs souvent le cas.

 

En revanche, le frère de Sherlock, Mycroft Holmes, n'est présenté au lecteur qu'en 1893. Cette fois, le personnage présente de riches possibilités, je n'ai donc pas hésité à l'utiliser avec quelques années d'avance... Franchement, l'auriez-vous remarqué ?

 

 

ET MORIARTY ?

 



Un peu trop mis à toutes les sauces au cours de ces dernières années dans les pastiches littéraires ou les séquelles cinématographiques, j'ai préféré le laisser de côté. Voici donc une révélation capitale si vous lisez le livre : ne le cherchez donc pas, ce n'est pas lui le coupable !

 

Mais alors... qui est ce sinistre assassin qui rôde dans les rues de Londres et rase ses victimes ?

 

Bonne lecture.

 

 

 

 



 



 

 



 

 

 



 



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